Avec ses nombreux succès musicaux, Johnny Hallyday n’a jamais été dans le besoin. Au fil de sa carrière, le célèbre rockeur a choisi de dépenser son argent sans compter. Mais visé par le fisc, le chanteur n’a pas d’autre choix que de mettre de côté…
“J’adore l’argent et, en même temps, je m’en fous royalement”, confiait Johnny Hallyday à Télérema en 2003. Grâce à la vente de ses albums et ses tournées à guichets fermés, l’interprète de “Je te promets” a récolté une fortune colossale, et ce dès ses débuts dans l’univers musical. De nombreuses fois, l’idole des jeunes a même été citée comme le chanteur le mieux payé de l’Hexagone. Seulement voilà, sa fortune a aussi été un poids pour Johnny Hallyday, qui a été contrôlé par le fisc à plusieurs reprises – il a aussi été condamné à de la prison avec sursis. Ce n’est pas un hasard si durant les cinquante dernières années, plusieurs avocats et conseillers fiscaux ont tenté de le raisonner. En vain.
Johnny Hallyday aimait dépenser sans compter. Avec sa fortune, il s’offrait les plus belles motos et voitures de collection, optait pour des voyages imprévus à l’autre bout de la planète, choisissait des villas de luxe hors de prix au quatre coins de monde, à Marnes-la-Coquette, à Saint-Barthélemy ou encore à Los Angeles. Une façon pour lui de faire plaisir à ses proches. Et ce train de vie flamboyant, “à l’américaine”, Johnny Hallyday était conscient d’en profiter : “Mes seuls ennuis avec l’argent, c’est que j’en dépense trop et qu’ensuite j’en dois beaucoup au fisc”, avait-il ajouté à Télérama.
Alors Johnny Hallyday a tenté de se contrôler“avec un bon système” pour éviter les ennuis : “Quoi que je gagne, j’en mets d’office 60 % de côté et, le reste, je m’éclate avec. J’ai passé vingt-cinq années de ma vie à rembourser mes dettes d’impôts et je n’ai aucune envie de recommencer.”
Crédits photos : BestImage