L’animatrice et humoriste Charline Vanhoenacker a décidé mardi 20 novembre de se moquer de Frédéric Beigbeder qui a raté sa dernière chronique sur France Inter.
Sa dernière chronique dans la matinale de France Inter avait été vivement critiquée sur les réseaux sociaux. Et pour cause. Vendredi 16 novembre, pour faire son billet hebdomadaire, l’écrivain Frédéric Beigbeder était arrivé au micro les mains dans les poches. Il avait trop fait la fête… et égaré ses notes ! Lui-même le dit dans les colonnes du Parisien : « C’est vrai que c’était pas terrible ». Résultat sans appel pour la directrice d’Inter Laurence Bloch qui a décidé de se séparer de Beigbeder pour la matinale. La fin d’un chapitre que Charline Vanhoenacker a décidé de commenter mardi 20 novembre, se payant son ancien collègue et s’amusant de la situation.
L’humoriste qui fait la pluie et le beau temps de France Inter avec Guillaume Meurice et Alex Vizorek a commencé ainsi : «Je suis sortie en boîte samedi soir dans un endroit appelé ‘Le Medellin’ et j’ai retrouvé la chronique que Beigbeder avait perdue pour jeudi matin. Je vous lis le texte. Page 3. ‘Les gilets jaunes sont là tels des petits grains de maïs prêts à exploser comme du popcorn’. Vous voyez que c’était brillant !» . Celle qu’on nomme souvent la bête noire des politiques poursuit: «Il faut aussi comprendre que… Tatiana 06.64.43.25.65. Non, ça, il a dû rajouter par-dessus.Après, je n’arrive plus à lire. Divers fluides ont masqué la plupart du billet qui s’achève par ‘l’essence, ce n’est pas super’.‘Super’ souligné trois fois. Bon, c’était sans doute un premier jet. Enfin, un premier ‘Get27’.C’est donc sur ces mots que l’oeuvre matinale de Frédéric Beigbeder demeure inachevée. Bon bah, là, il nous reste une minute jusqu’à 8h. Qu’est-ce qu’on fait ? ».
Ce n’était pas la première fois que Frédéric Beigbeder s’illustrait (pour les mauvaises raisons) sur les ondes. En septembre 2016, le réalisateur avait une nouvelle fois trop fait la fête et s’était rendu à la radio après une folle nuit dans une boîte de nuit parisienne. Ivre en plein direct, il disait alors : «La chronique à 8h55 tous les jeudis, c’est tôt, c’est très tôt. Me confier ça à moi ? C’était un pari. Et ce pari, nous le savons tous à présent, il est perdu. Tous les jours, à 8h55, des gens brillants viennent ici de SophiaAram à FrançoisMorel. Ils s’installent dans ce même fauteuil et ils sentent bon ! Car ils se sont lavés ! Oui, ils ont pris une douche!».
Crédits photos : LIONEL URMAN / BESTIMAGE
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